Donnez-nous un exemple de micro-fait (signal faible) que vous avez identifié pour votre organisation. Comment l’avez-vous décrypté ?

A l’instar d’une boussole, Action Logement n’a de cesse, depuis sa création, d’orienter ses axes stratégiques et ses dispositifs au regard des changements conjoncturels, économiques et environnementaux. Être à l’écoute, s’adapter pour répondre aux besoins fait partie de notre ADN.

Les micro-signaux qui nous parviennent émanent en particulier des demandes que nous recevons des entreprises et des salariés. Elles nous éclairent et nous orientent vers les réponses à apporter. Depuis le début de la pandémie, les appels de salariés en difficulté se sont par exemple multipliés. Ils témoignent d’une activité économique difficile. Guidés par l’urgence de la situation, nous avons pu faire évoluer nos services en renforçant l’accompagnement des salariés en difficulté et en proposant par exemple une aide financière pour anticiper les éventuels risques d’impayés de loyer.

Nouveaux rituels de travail, nouveaux équilibres vie personnelle-vie professionnelle… Ces évolutions nous incitent à décoder, comprendre. Ils nous guident et nous amènent à faire preuve d’ingéniosité, d’innovation pour penser et créer le logement et les services de demain.

Le contexte sanitaire a également été instructif et a affirmé le besoin de donner du sens à ses actions. Action Logement a, pour sa part, conforté sa prise de conscience des enjeux environnementaux, sociaux et économiques de son activité et s’est recentré sur sa responsabilité sociétale. Le groupe s’est engagé dans une démarche RSE volontariste porteuse de valeurs essentielles (développement durable, solidarité…) pour accompagner les nouvelles évolutions sociétales.

Les signaux sont multiples et constructifs à qui sait les entendre. Quelles que soient les trajectoires, Action Logement garde le cap : faciliter le logement pour favoriser l’emploi !